Un nom qui claque au vent de la destruction comme un étendard funeste
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Document de 11 pages.
Cet ouvrage est un supplément permettant d'intégrer l'univers de H.P. Lovecraft dans le Neuvième Monde. Il part du principe que le lecteur connaît déjà le Mythe de Cthulhu.
Part I : Bringing Lovecraft (4 pages) explique en quoi le Mythe et Numenera sont proches : un univers vaste, où l'homme n'est rien, à la merci de forces incompréhensibles, et où la science se confond à la magie. L'auteur traite également de l'horreur en jeu et de sa mise en scène dans Numenera. Quelques règles sont données pour gérer les pertes de santé mentale.
Part II : Descriptors and skins (2 pages) introduit deux nouveaux descripteurs (adjectifs) adaptés au thème : Dément, qui augmente la connaissance et l'Intellect mais provoque des comportements instables, et Maudit, qui accroit la perception et la Vitesse mais rend vulnérable aux Intrusions du meneur. Enfin, les auteurs fournissent quatre archétypes lovecraftiens (tentaculaire par exemple) à ajouter aux créatures existantes.
Part III : Lovecraftian Creatures (4 pages) propose la conversion de plusieurs créatures lovecraftiennes au Cypher System : Les Profonds (niveau 4), les Yithiens (Niveau 6), les Mi-Go (niveau 5), et les Shoggoths (niveau 7).
Le supplément se termine par une page de bibliographie conseillée.
Cette fiche a été rédigée le 6 novembre 2013. Dernière mise à jour le 10 février 2015.
batronoban
Pas terrible : on nous donne quelques créatures, quelques conseils, quelques options de personnages, aucune renversante, aucune n'est imaginative... Les illustrations sont par contre superbes comme d'habitude dans cette gamme. Cependant après avoir lu et malgré le faible prix j'ai une sérieuse impression de vide et de remplissage. J'aurai préféré un vrai bestiaire d'une trentaine de créatures, plus des options et conseils pour les cultes de Grands Anciens du Neuvième Monde, une vraie exploration de la folie... avec un prix plus élevé. Bref un vrai supplément, approfondi. Ce PDF ne fait que survoler son sujet (pourtant très riche) et rate le coche...
Critique écrite en février 2015.
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